Ne droguez pas votre enfant !

Refusez que l’on drogue votre enfant ! 

Donneriez-vous de la cocaïne à vos enfants ?

Ce court article s’adresse aux parents d’enfants à qui l’on propose de donner des médicaments. Il s’adresse bien évidemment à tous ceux également qui sont déjà médicamentés et qui veulent trouver une autre solution. Une solution beaucoup plus naturelle qui respecte la nature de l’enfant son tempérament et qui est surtout beaucoup plus efficace et beaucoup moins dangereuse.

Ce sont des informations tirées de l’expérience d’un médecin de bon sens et qui veut « sauver vos enfants ».

Les milieux soi-disant scientifiques et psychiatriques ont inventé un nouveau sigle, une nouvelle maladie qu’ils appellent le TDAH, ou Trouble Dysfonctionnel de l’Attention avec ou sans Hyperactivité. Cela fait pompeux et sérieux et permet de mettre un nom à des troubles que présenteraient de plus en plus d’enfants.

C’est une mode qui nous vient des États-Unis ou à peu près 10 % des enfants seraient concernés et surtout plus grave médicamentés et mis sous drogues chimiques.

Les spécialistes reconnaissent 3 symptômes dans le TDAH : 

Diminution attention
Impulsivité
Agitation

Les trois symptômes sont souvent intriqués et c’est surtout la diminution de l’attention qui prédomine plus que l’agitation.

Ce sont souvent les institutrices ou les enseignantes qui alertent les parents et qui demandent d’abord de consulter pour leur enfant, qui n’écoute pas en classe ou qui perturbe la classe.

Ces demandes de consultation de psychologues sont de plus en plus fréquentes. 

Avant de consulter le psychologue et de vous demander si votre enfant est malade ou normal, il faut d’abord se poser les vraies questions.

D’abord les enfants actuels passent 3 fois plus de temps à l’école qu’il y à un siècle !

Le système éducatif des années 2000-2020 n’est plus du tout celui de la IIIe République ni celui des années 50 ou 60. L’éducation nationale est devenue à sa tête le royaume des idéologues. Un ancien inspecteur de l’éducation nationale, Jean Paul Brigheli a écrit là-dessus un livre dont le titre évocateur est « La fabrique du crétin ».

La plupart des parents se reconnaîtront dans mes propos : les programmes scolaires ont oublié la logique et entraînent une confusion dans le cerveau des enfants, avec notamment, en histoire la fin de l’enseignement de la chronologie, la fin de l’histoire des hommes et le début de l’histoire des systèmes, Des systèmes qui ne veulent rien dire à nos enfants alors que l’enfant comme chacun de nous s’identifie bien plus à des hommes et des êtres humains qu’à des système abstraits. C’est enseigner l’histoire des institutions et des systèmes plutôt que l’histoire des hommes. Et bien c’est beaucoup moins intéressant d’entendre l’histoire d’un système politique que l’histoire de Napoléon ou de Duguesclin avec les épopées qu’ils ont vécues.

Donc l’enfant, qui est normal, se désintéresse du cours inintéressant, est alors inattentif et le professeur ensuite alarme les parents en leur disant que leur enfant a un problème. Beaucoup de parents de garçons se reconnaîtront dans mes propos.

Le système éducatif malade vise à transférer le problème aux enfants, et aux parents.

C’est l’enfant que l’on propose de soigner alors que c’est le système éducatif qu’il faut réformer.

Il suffit de constater la progression inquiétante du nombre d’enfants ne sachant pas lire en arrivant en sixième, et la prise en charge de plus en plus d’enfants dyslexiques ou inattentifs.

On assiste à une épidémie des dys ! Dyslexique, dyspraxique, dysgraphie dysphasie…

Je ne nie pas qu’il y ait des enfants qui aient des problèmes psychologiques surtout depuis l’ explosion des divorces et des traumatismes affectifs engendrés, mais néanmoins l’explosion des demandes de consultation de psychologues et la progression inquiétante d’enfants mis sous drogue chimique doit nous faire réagir.

Le système scolaire actuel est plus adapté à la personnalité et au tempérament des filles pour qui c’est beaucoup plus facile de rester huit heures assises sur un banc et qui sont généralement plus dociles avant l’adolescence que les garçons dont la définition est d’être hyperactif et d’avoir besoin de se dépenser physiquement dans son enfance.

Allez revoir le film « la guerre des boutons » celui de Pergault de 1962 notamment qui montre que tous ces enfants sont pour nos définitions actuelles du monde moderne des « hyperactifs » alors qu’ils sont tous simplement normaux.

Quant vous avez vu ce fiilm ou cet extrait, vous comprenez bien que maintenir des garçons assis toute la journée est une violence qui ne peut être maintenue, par certains, que par des procédés chimiques.  

De plus le TDAH le plus fréquent n’est pas l’hyperactivité mais l’inattention sans agitation

Pourquoi y a-t-il plus de TDAH, d’inattention des enfants  ?

Je vais prendre un exemple que nous avons tous vécu : si nous assistons à un cours particulièrement ennuyeux ou à une conférence barbante ou à la conversation d’une personne inintéressante, et bien on a tous connu ça, on va bien évidemment très vite décrocher, ne plus écouter et passer à autre chose. C’est une réaction tout à fait normale du cerveau humain.

Les enfants sont comme nous :  ils écoutent si c’est intéressant, ou si le professeur sait capter l’attention des enfants et leur énonce un enseignement clair et compréhensible. Comme disait Nicolas Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement. Et les mots pour le dire arrivent aisément » 

Quel est le schéma classique proposé aux enfants que l’on définit comme en déficit d’attention ou comme hyperactif ? :

Après avoir consulté un psychologue ou un psychiatre, on leur propose souvent de leur prescrire un traitement chimique pour une courte période, ce qui permettra de les rendre plus attentif. Le problème c’est que les parents ne savent pas que ces médicaments sont extrêmement dangereux. On leur cache la réalité et les réels effet secondaires de ces médicaments. Quels sont ces médicaments censés soigner ces troubles de l’attention scolaire ?

Leur nom vous est peut-être connu : ce sont essentiellement la Ritalin et ses dérivés, en France  concerta et quasym. La molécule de synthèse chimique est le methyl-phénidate. Cette molécule a été synthétisées en 1944 et son nom commercial provient du surnom de l’épouse du chimiste (Rita). C’est un analogue des amphétamines : les amphétamines sont des molécules considérées comme des drogues :  en effet, leur nocivité ainsi que leur forte dépendance psychique font qu’elles sont classées comme stupéfiants depuis 1967. Un stupéfiant est une drogue illicite. C’est-à-dire une drogue interdite à la consommation.

Alors pourquoi cet analogue des amphétamines, cette drogue est autorisée, légalisée et autorisée à la vente, notamment pour des enfants et des adolescents dont le cerveau n’est pas encore mature ?

Il faut se poser les vraies questions : pourquoi y a-t-il d’un côté des drogues illégales comme l’héroïne, la cocaïne et les amphétamines et de l’autre côté des drogues légales comme les médicaments : Ritaline….etc…. est-ce que c’est du fait que la molécule a été brevetée par une multinationale du médicament et qu’il y ait ensuite d’immenses enjeux financiers que cette légalisation à été rendue possible ?

À quoi sert donc la Ritaline et ces médicaments censés soigner les déficits de l’attention ?

En tant que dérivé des amphétamines, il est un psychostimulant : il sert à stimuler le cerveau. Ce sont des dopants du cerveau en quelque sorte. Lorsque je préparais le concours de l’Internat de Médecine en 1986, qui est une épreuve épouvantable où à un âge où l’on devrait s’épanouir en pleine nature, on est forcé de rester assis 15 heures par jour pour ingurgiter des tonnes et des tonnes de connaissances. Trois mois avant le concours, j’ai testé avec un ami étudiant avec qui je « sous-collais » une amphétamine légale qui s’appelle « Ordinator » : nous voulions voir si nous progressions dans nos résultats aux QCM. Prudents, nous faisions ce test bien avant le concours pour savoir si cela pourrait être envisageable de se doper juste avant le concours. Je pris un seul comprimé le matin : j’ai bien constaté les effets psychostimulants. Mon activité intellectuelle et ma vigilance ont été nettement augmentées, à tel point que j’ai été insomniaque pendant 48 heures et que je faisais 20 % de résultats supplémentaires positifs aux QCM. J’avais l’impression d’avoir une vigilance et une intelligence décuplée et de pouvoir résoudre tous les problèmes facilement.

Un peu comme plus tard avec le Qat, qui est une drogue contenant des amphétamines (la qatnine) contenue dans une plante verte que l’on mâche au cours d’interminables discussions au Yémen. J’ai en effet eu la chance de réaliser mon service national civil pendant deux ans (1990-1991) comme radiologue à Taiz. Pendant toute cette période, j’ai donc pu tester le Qat (aller au Yémen sans « qater », c’est comme aller à Bordeaux sans boire du vin rouge….).  Mâcher cette plante produit une stimulation intellectuelle assez progressive (car contrairement aux médicaments qui contient le principe actif pur, la plante contient le principe actif mais aussi des milliers de Phyto-nutriments qui ralentit son effet et contrebalance ses effets secondaires). Cette stimulation intellectuelle est telle que les Yéménites disent quand ils quatent « quand tu quates, tu vois Paris ! »

Donc les amphétamines et leurs molécules similaires comme la Ritaline sont de puissants stimulants du cerveau. Ils peuvent donc très bien diminuer les déficits de l’attention.

Par contre ils ont de très important effets secondaires.

En effet lorsque j’avais pris l’ordinator, ce comprimé d’amphétamine, avant de préparer le concours de l’internat, pendant 48 heures je n’avais pas dormi, puis après j’eus un immense contrecoup et ai dû récupérer le sommeil perdu pendant une semaine. Échaudé par cette expérience assez négative, j’avais décidé avec bon sens et raison de ne plus jamais reprendre de telle molécule. J’ai réussi les trois concours de l’Internat : Paris, Bordeaux et Montpellier sans prendre aucun médicament psychotrope.

Les effets secondaires de ces médicaments sont potentiellement très graves : insomnie, dépendance, dépression. Et ces effets incitent à prendre de nouveaux traitements comme les somnifères. Les risques de ces drogues, si l’on continue à les prendre sont ensuite : Dépendance, toxicomanie future, arrêt cardiaque, lésion cérébrale…

Alors que faire si mon enfant est agité en classe ou surtout inattentif et qu’on me met la pression pour le soigner ?

Avant de vous précipiter pour prescrire pendant plusieurs mois voire plusieurs années un médicament potentiellement dangereux à votre enfant ou votre adolescent, faites ceci.

1. Posez-vous les bonnes questions sur le système éducatif, l’école et les  professeurs de votre enfant. Si votre enfant est un manuel et qu’il est maintenu dans le système général, il ne faut pas forcer son tempérament et le forcer à rester dans un système qui n’est pas fait pour lui.
Trop souvent l’on maintient des enfants dans la voie générale alors que l’on manque de professions manuelles et que de nombreux enfants, notamment des garçons s’épanouissent dans ces filières. Rappelez-vous : « il n’y a pas de sot métier, il n’y a que de sottes gens ». D’autre part il faut savoir que les enfants qui suivent l’école à la maison apprennent en 3h le programme du jour, donc ils ont du temps ensuite pour s’amuser…et ne pas être agités. Alors qui est malade ? 

2. Nourrissez le mieux possible votre enfant. Evitez les aliments raffinés et dévitalisés.

Les causes nutritionnelles sont le plus souvent ignorées dans les déficit d’attention chez l’enfant. Un enfant qui va avoir une alimentation raffinée, dévitalisée avec des produits essentiellement industriels bourrés de colorants et d’additifs, dont on sait qu’ils sont des excitants du système nerveux central, aura bien plus facilement des troubles de l’attention et de l’hyperactivité qu’un enfant qui se nourrit normalement de produits naturels biologiques et non transformés. Savez-vous que la consommation régulière de noix, de sardines apporte au cerveau de l’enfant les acides gras poly-insaturés nécessaires au bon fonctionnement de son cerveau et donc une meilleure attention, écoute et une meilleure mémoire ? 

Éviter les excès de sucre blanc (un exitant comme la cocaïne), des yaourts, des crèmes, du lait, des céréales raffinées et privilégiez plutôt des fruits, des noix, des œufs du jambon au petit déjeuner. Le petit déjeuner doit être plus protéiné, plus gras et moins sucré : le petit déjeuner des enfants quand ils le prennent, est beaucoup trop sucré. Et cela donne des à-coups au cerveau avec des risques d’hypoglycémie qui nuisent à attention de l’enfant à l’école.

3. Faites faire beaucoup plus de sport et d’activité physique et naturelles à votre garçon et éloignez le des écrans. La multiplication des jeux vidéo et des tablettes entraîne des problèmes très important de concentration : Steve Jobs et Bill Gates avaient interdit à leurs enfants de les utiliser, car il savaient que cela nuisait colossalement à leur attention et leur concentration. Un comble !

4. Préférez l’homéopathie, les compléments alimentaires et l’acupuncture à la prise de drogues.

L’homéopathie est régulièrement attaquée par l’Academie de Médecine et certains lobbys pharmaceutiques car de plus en plus de français y ont recours. Elle est excellente pour soigner les petits troubles anxieux, les peurs, les angoisses et permet de rassurer un enfant. Elle n’a pas d’effet secondaire et elle fonctionne: tous les medecins et toutes lesmères de familles qui l’utilisent vous le diront.

5.La prise des compléments alimentaires suivants va aider votre enfant considérablement :

OMEDOCTA 2-0-0.   2 capsule tous les matins au petit déjeuner pendant plusieurs mois pour apporter le bon gras nécessaire au bon fonctionnement du cerveau de votre enfant. Un cerveau bien huilé est un cerveau qui fonctionne mieux. Or de nombreux troubles psychiques sont dus à des carences en ces fameux acides gras que ce complément apportera à votre enfant tous les jours à petites doses naturelles.

Trois noix par jour et des sardines ou maquereaux (en boîte ou frais) une à deux fois par semaine sont le minimum nécessaire pour bien huiler également le cerveau de votre enfant.

6. Enfin l’acupuncture auriculaire grâce aux progrès récents et la mise à disposition des médecins d’un système nouveau de Cryo acupuncture sans aiguille, permet de soigner les enfants de façon très efficace. Car l’oreille est l’écran clavier tactile de chaque hémi-ordinateur cérébral. En traitant ainsi l’oreille, on régularise l’activité du cerveau sans drogue chimique

Ainsi le trio nutrition, homéopathie et acupuncture auriculaire permet de réduire la plupart des troubles présentés par les enfants sans le recours à des drogues chimiques qui risquent de leur entraîner à l’adolescence et à l’âge adulte des dépendance envers les drogues dures.

Enfin je rappellerai les propos prémonitoires écrit dans le livre « Le meilleur des mondes » en 1931 par Aldous Huxley.

« C’est pas des drogues chimiques que l’on viendra petit à petit à contrôler le cerveau de la population » 

Alors si vous voulez que vos enfants restent libres et deviennent des hommes debout, ne les droguez pas. 

Dr Pascal Trotta, 
Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Médecin Spécialiste, Radiologue, homéopathe, Fondateur de l’Institut de Médecine Naturelle de Saint Sébastien
Paseo de los Fueros 3, 20005 San Sebastián, Pays Basque

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